Paragraphe 48
Vous vous précipitez sur la vieille dame qui tentait d’atteindre la porte d’entrée, la bave aux lèvres et les yeux fous. Personne ne s’attendait à ça ! Elle glapit des propos sans suite, mais bien sûr vous parvenez à la maîtriser sans mal et la menacez de votre arme. Vous vous tournez alors vers le reste de la salle :
-Ah ! Vous l’avez pas vue venir celle-là, hein ? Maintenant calmez-vous, bande d’enfoirés, ou alors je bute la vieille !
Les trois paysans vous observent sans se décider à agir. C’est alors que le type âgé, qui s’était éloigné plus tôt pour aller aux toilettes, vous apostrophe :
-Voyons, mon jeune ami... Je vous somme de retrouver la raison ! Le poste de garde est juste à côté !
-Et alors ? répondez-vous comme un effronté.
- Et alors... Vous n’aurez aucune chance de vous en tirer après avoir commis un crime ! D’ailleurs les miliciens arrive, on peut les voir par la fenêtre !
Vous grognez :
-Tu bluffes, vieux débris !
-Allez, lâchez la vieille maintenant ! ordonne à son tour un paysan moustachu. En vous retournant, vous pouvez voir qu’un milicien est effectivement arrivé au niveau de la fenêtre. Vous avez le temps de penser « Bon sang, mais comment j’ai pu en arriver là ? » D’autres bruits de pas précipités se font entendre le long de la façade... Il faut choisir assez vite :
✔ Vous pouvez vous rendre, au
71
✔ Vous exécutez la vieille, au
79
✔ Vous pouvez lâcher la vieille et fuir, au
37
✔ Vous pouvez lâcher la vieille et combattre, au
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