Paragraphe 79
Faudrait pas qu’on vous prenne pour un nul ! N’écoutant que votre brutalité, vous portez un coup violent sur le crâne de la dame âgée, celle-ci s’effondrant par la même occasion sur la parquet. L’homme aux cheveux gris se frappe le front de la paume de sa main en hurlant :
-Mais quel crétin ! Quel débile !
-Assassin ! Ordure ! enragent à leur tour les autres clients. Comme les miliciens font leur entrée dans la taverne et constatent le désastre, vous allez devoir les combattre en vous rendant au paragraphe
8.