Paragraphe 177
Sous le coup de la curiosité, vous entrez dans l’échoppe du serrurier. Celui-ci vous attend déjà dans un minuscule atelier près d’un petit établi surchargé d’outils, de morceaux de fer tordus, de limes et de carrés de parchemins affichant des plans étranges.
-Entrez, entrez, mon ami...
Vous saluez le commerçant et celui-ci ouvre un tiroir pour en sortir un objet métallique, qu’il vous présente en ces mots :
-J’ai pensé que ma dernière création pouvait vous intéresser... Car si j’en crois votre équipement, vous êtes le genre de baroudeur qui a parfois besoin d’essayer d’ouvrir des coffres, pas vrai ? Il est difficile de mentir sur ce point, aussi vous hochez la tête.
– J’ai fabriqué un outil de précision qui... Disons-le carrément, n’est pas vraiment autorisé à la vente... Et qui peut vous aider à triompher des serrures tenaces. Il cligne de l’œil et fait tourner entre ses doigts une clé tarabiscotée à crochets, dotée de plusieurs excroissances mobiles. Il n’est pas difficile de comprendre qu’en effet, cet outil doit être redoutable entre les mains d’un voleur...
-Comme c’est un prototype, je peux vous la céder pour trente pièces d’or, mais seulement si vous me promettez d’en parler à vos amis ! Alors ?
Vous réfléchissez... 30 PO, c’est une somme, mais l’outil semble très bien fait !
✔ Si vous décidez de l’acheter, rendez-vous au
183.
✔ Si vous êtes intéressé mais vraiment radin ou pauvre, vous pouvez tenter de lui arracher des mains avant de prendre la fuite en courant, au
190.
✔ Sinon, sortez simplement de la boutique, au
163.