Paragraphe 170
Vous progressez sournoisement près de la ferme, attentif au moindre bruit, au moindre détail. C’était bien joué, car vous entendez quelque chose derrière la grange ! Des bruits ténus mais résolument anormaux, à moins qu’un animal ne soit en train de fouiller une poubelle. Toujours silencieux, vous longez le mur de planches et jetez un coup d’œil rapide par-dessus un tonneau placé dans l’angle.
Belle trouvaille ! Un gobelin hideux est occupé à fouiller un sac de toile en chuchotant des propos incompréhensibles. C’est très certainement le voleur signalé par la vieille Marceline à votre nouvel ami Firmin, le milicien maigre.
Vous pouvez choisir d’ignorer ce voleur et profiter de votre discrétion pour rejoindre la rue des Trois Boudins comme un gros lâche, au 41. Mais si vous êtes assez brave pour affronter seul un gobelin, rendez-vous au paragraphe suivant, le
171.