Paragraphe 158
Vous êtes assez heureux de discuter de votre début de carrière avec ce commerçant, il ne cesse d’ailleurs de vous féliciter pour vous exploits, même quand ceux-ci sont anodins. Vous finissez par entendre des bruits suspects provenant de la façade du bazar... Et vous comprenez un peu tard que vous venez de vous faire piéger ! La cloche... Par les tentacules de Gzor ! Le marchand a identifié objets dérobés ! Si on ne peut même plus voler les honnêtes gens... Pour hurler votre rage au commerçant, vous vous retournez à nouveau mais celui-ci a déjà disparu dans l’arrière-boutique... Il avait du prévoir son coup.
De l’autre côté, le sargent vient d’ouvrir la porte et s’écrie :
-Ah ah ! Sale voleur, t’es fait comme un rat ! Lâche ton arme ! Deux autres gardes se trouvent là, dont un qui vous menace d’une arbalète.
Le comptoir vous coupe toute retraite... Mais diantre, qu’allezvous faire ?
✔ Sortir votre arme et combattre, au paragraphe
159
✔ Accepter de vous rendre, au paragraphe
74