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Paragraphe 159

Au moment où vous tirez votre arme de son fourreau, le milicien vous décoche et carreau d’arbalète qui vient se planter dans votre cuisse... Vous ne partez pas gagnant ! D’autant plus que deux paysans sont en train d’accourir sur la place, armés de fourches. Vous échangez quelques passes d’armes avec les gardes et vous parvenez à en blesser un au visage, mais bien vite vous pliez sous le nombre... Et comme il est trop tard pour vous plaindre de vos actions stupides, vous devez vous rendre au 67.