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Paragraphe 111

Vous approchez tranquillement de la bicoque brûlée, croisant au passage deux villageois qui semblent vous ignorer. La bâtisse qui vous intéresse a brûlé de l’intérieur... Et visiblement les voisins ont réussi à l’empêcher de se consumer entièrement, peut-être en tirant des seaux d’eau du puits que vous pouvez voir sur la petite place. C’était bel et bien une taverne, si l’on en croit l’enseigne de bronze qui comporte un chien stylisé ainsi qu’une chope posée de guingois. Qui sait ce qui a pu se passer pour qu’elle finisse dans cet état... Compte tenu de l’état du bâtiment, il n’y a rien d’intéressant ici et vous commencez à prendre le large quand une silhouette émerge de derrière la ruine. C’est un homme âgé s’appuyant sur une canne, coiffé d’un chapeau de cuir et dont les cheveux filasse encadrent un visage usé par les intempéries. Il s’approche de vous :

-Hep ! Vous ! J’sais bien c’que vous faites ! Intrigué, vous attendez un peu qu’il vous rejoigne. Il se met alors à parler moins fort et vous attrape par la manche :

-Vous êtes sur une enquête, pas vrai ?

Vous devez trouver quelque chose à lui répondre :

-Oui, c’est vrai ! (au 164)

-Non ! Et puis lâchez-moi, vieux taré ! (au 189)