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Paragraphe 295

Vous finissez d’ouvrir l’enclos... Ce n’était effectivement pas bien difficile. Il y a désormais une issue pour les moutons, mais ceux-ci demeurent terrifiés dans l’angle opposé de l’enclos. Vous en faites alors le tour, tout en restant dissimulé derrière la barrière... Et parvenu de l’autre côté, vous les chassez par votre seule présence et quelques tapes bien placées sur les arrièretrains laineux. Les bêtes traversent l’enclos, trouvent la sortie et s’échappent en bêlant, s’égayant alors dans toute la prairie boueuse. De votre côté, vous partez vous mettre à l’abri dans un buisson, en bordure de la clairière, et vous attendez...

Vous avez gagné votre pari et attiré l’attention de quelqu’un ! La silhouette massive d’un homme presque chauve surgit soudain de derrière la maison, où se trouve la porte d’entrée. Il est assez costaud et gras, vêtu d’un tablier sanglant... Dans sa main droite il tient un impressionnant hachoir de boucher, et dans la gauche un grand couteau. C’est probablement Marcel Jobard ! En voyant son troupeau échappé il se met à courir en hurlant, puis tombe sur le cadavre de son chien et devient encore plus furieux. Trépignant de rage, il tourne la tête de tous côtés afin de

trouver l’auteur de ces méfaits, mais sans succès. Pour voir comment Marcel s’en sort, vous allez toutefois tenter une épreuve d’INTELLIGENCE pour son compte (INT 11).

✔ Si l’épreuve est réussie, allez au 281

✔ Si l’épreuve est ratée, allez au 292