Paragraphe 272
Vous finissez d’installer des branchages et de la paille au pied de l’abri, puis vous boutez le feu à votre préparation. Vous déplaçant alors jusqu’à la limite de la clairière, vous trouvez de quoi vous dissimuler en attendant la suite. Le feu prend de l’ampleur et commence à s’attaquer aux planches de l’abri... Puis ces dernières flambent à leur tour ! En
une dizaine de minutes, l’abattoir se transforme en fournaise et une fumée âcre s’élève dans la clairière. L’odeur très forte émanant des carcasses brûlées envahit rapidement le périmètre, occultant les habituelles senteurs campagnardes. Les moutons, paniqués bien que non menacés par cet incendie qui ne touche pas la clôture, s’agitent de plus en plus en bêlant frénétiquement. Certains parviennent même, au prix de gros efforts, à sauter par-dessus la barricade et s’enfuient en courant dans la clairière.
Vous avez gagné votre pari et attiré l’attention de quelqu’un ! La silhouette massive d’un homme presque chauve surgit soudain de derrière la maison, où vous devinez à présent qu’on trouve la porte d’entrée. Il est assez costaud et gras, vêtu d’un tablier sanglant... Dans sa main droite il tient un impressionnant hachoir de boucher, et dans la gauche un grand couteau. C’est probablement Marcel Jobard ! En voyant l’incendie, il se met à courir en hurlant, puis tombe sur le cadavre de son chien et devient encore plus furieux. Trépignant de rage, il tourne la tête en de tous côtés afin de trouver l’auteur de ces méfaits, sans succès. Pour voir comment Marcel s’en sort, vous allez toutefois tenter une épreuve d’INTELLIGENCE pour son compte, et sur un score de 11.
✔ Si l’épreuve est réussie, allez au
281
✔ Si l’épreuve est ratée, allez au
292