Paragraphe 245
Après un coup violent de votre part, l’homme porte la main à sa poitrine et tombe à genoux dans la boue. Vous gagnez 8 XP. Voyant que vous allez encore frapper, le mari jaloux tend la main dans votre direction :
-Assez ! Assez ! Pitié ! Je... Je ne battrai plus jamais ma femme ! Je l’jure ! Assez ! Puis il se met à pleurer.
– Ouais, y’a intérêt ! rétorquez-vous en sentant la fibre héroïque vibrer dans votre poitrine. La paysanne meurtrie termine de se relever, essuie ses mains boueuses sur sa robe et s’approche de vous à son tour :
-Oh... Merci, merci... Mais dans quel état vous avez mis mon Gérard ! Toute cette violence !
-Cet enfoiré n’a eu que ce qu’il mérite ! grognez-vous en décochant un petit coup de pied à l’homme.
-Argh ! lâche le blessé de façon pitoyable.
Votre jugement et sans appel et la femme ne sait que penser. Néanmoins, elle vous remercie encore dans un sanglot :
-Attendez... Je ne peux pas vous laisser partir comme ça ! Elle vide une bourse de tissu dans sa main et vous tend l’argent, tremblante. Il y a là 8 PO et 5 PA.
Vous avez le choix :
✔ Prendre la maigre fortune de la paysanne et repartir fièrement dans la rue Claudique, au
163
✔ Lui laisser son argent et gagner un bonus de 3 XP, puis repartir fièrement dans la rue Claudique, au
163
Dans les deux cas, vous devrez alors ignorer l’accès au paragraphe
233.