Paragraphe 241
Pris d’un soubresaut, l’homme s’effondre soudain en crachant du sang. Il bascule dans un tas de cagettes de navets où il
terminera de s’y vider de son sang. Vous gagnez 10 XP.
Vous approchez, sûr de vous. La femme se relève avec difficulté, se remet de sa surprise et se déplace timidement pour examiner le corps du soudard qui l’insultait encore quelques secondes plus tôt. Des sanglots secouent alors son corps meurtri, puis elle finit par remarquer votre présence :
-Vous ! Mais... Mais qu’avez-vous fait ? Il est mort ! Vous avez tué mon Gérard ! Ce regard méprisant n’est pas de votre goût et vous répondez :
-Hé, oh ! Je suis juste venu vous sauver ! Il était en train de vous agresser, ce gros con !
-Mais... Mais c’était mon mari !
-C’est pas une raison pour vous taper dessus ! Et là, comme ça on est sûr qu’il ne va pas recommencer ! La paysanne, désormais veuve, tombe à genoux dans les navets et se met à pleurer sur le corps en baragouinant des propos insensés.
Elle ne fait plus attention à vous, et comme il n’y a rien de bien intéressant par ici, vous retournez en grommelant vers la rue Claudique, au
163 (vous devrez alors ignorer l’accès au paragraphe
233).