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Paragraphe 194

Vous approchez de la grande demeure et de l’attroupement. Vous ne vous étiez pas trompé... Il y a bien ici plusieurs personnes occupées à suspendre des guirlandes de cordes, lesquelles supportent diverses sculptures de bois vieillies par les années d’utilisation. La plupart de ces sculptures représentent des paysans, des moutons ou des pièces de charcuterie... Les villageois installent également une scène en bois et des abris qui doivent servir à vendre des produits.

La place est délimitée par une petite barrière pour empêcher les gens de circuler sur ce chantier. Vous continuez de vous approcher jusqu’à cette limite quand vous entendez que certains haussent la voix :

-Mais voyons, bougez-vous les miches ! On n’va pas rester bloqués toute la journée parce que vous avez peur d’escalader un toit !

-Vous n’avez qu’à le faire, vous !

-Moi je suis trop vieux !

-Et moi je l’ai déjà fait l’année dernière, et j’ai failli crever !

-Et vous, madame Jubert ?

-N’y pensez même pas ! Vous m’prenez pour un globzoule ?

En vérité, la plupart de ces gens sont assez âgés. Vous levez les yeux en direction du point qu’ils désignent, et vous constatez que la toiture de cette haute maison, qui semble être une auberge, comporte un genre de mât. Il y a bien une échelle contre la maison, mais celle-ci n’arrive qu’à mi-hauteur.

Il y a également deux vieux qui vous tournent le dos, dont un qui a une bourse accrochée à la ceinture... Peut-être un larcin facile. Qu’allez-vous faire ?

✔ Proposer vos services pour escalader la toiture ? Rendezvous au 212

✔ Tenter de piquer la bourse pendant qu’ils discutent ? Rendez-vous au 216

✔ Essayer d’engager la conversation, au 220

✔ Retourner vers le milieu de la rue, au 175