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(depuis l'an 425 du premier âge) |
Description
Dans ma ville, il n’y a que trois moyens de survivre. La première n’est accessible que par la femme, et consiste à vendre son corps contre de l’argent. La seconde consiste à devenir membre de la guilde des voleurs. Et enfin la dernière, celle de vivre par l’épée.
Je suis né dans cette ville, je n’ai jamais connu autre chose que les mensonges de la vie. Je ne connais que le sang et la morsure de la lame. Je suis un Champion. Un Roi de l’Arène. Je risque ma vie tous les jours pour une bouché de pain. Ma vie ce limite à ma cellule et aux clameurs du public quand je prends une vie.
Je suis né sans cette cage. Je ne connais ni parents ni famille. Mes amis sont mon plastron et mon épée. Je n’ai connu le plaisir de la chair que par ces femmes qui ce vende.
Je suis né pour le combat. Je vis pour le combat et je perdrai certainement la vie aux combats. Car même si n’est jamais rien connu d’autre, je sais que le combat et la seule chose qui me maintient en vie. C’est assez paradoxale.
Je n’ai pas eut la chance d’apprendre à écrire ou à lire à un age normal. Je ne suis jamais allé dans une autre école que dans celle de l’Arène. École qui n’apprend qu’une seule chose, comment bien tué son adversaire. Comment utilisé le monde pour prendre la vie.
Et un jour, l’on m’a pris l’Arène. Je n’ai pas vraiment compris pourquoi je devais perdre ce qui à toujours été mon foyer. J’ai regardé des chevaliers prendre la vie de mes professeurs, de mes collègues de travail, des femmes que j’ai toujours connu. Ils n’ont gardaient qu’une poignée de nous en vie. Les plus jeunes et les plus fort.
Mon corps à toujours été marquer par la violence de la vie de gladiateur. Mon corps marqué de plus de cicatrice que je n’ai jamais pu en compté. Mon corps qui ne connaît que la morsure de l’acier. J’ai du goûter à la douleur de la magie.
J’avais moins de quinze ans, quand les chevaliers sont venu prendre mon train de vie.
On était six. Six garçons. J’étais le plus âgé. Le plus expérimenté. Et sûrement le plus docile. Les autres n’étaient que des garçons qui avaient eut un semblant de vie avant l’Arène.
On était des jouets. Bien, j’ai toujours été un jouet. On nous a arracher de notre Arène pour aller mourir et pourrir dans une autre Arène. Bien que je dirai plus qu’il s’agissait d’une fosse.
Pour la Fosse. Un endroit où le confort n’avait pas d’existence. Nous vivions parmi les prisonniers politiques, parmi les assassins psychopathe et les violeurs. Le tout mélangé avec nous des combattants et des esclaves.
Pendant un an, j’ai dû apprendre à survivre sans faire confiance. A arraché la nourriture qui nous été lancer par une trappe. J’ai tué des frères d’armes et d’autre personne pour ma survis, pour et simple.
Mais j’ai rencontré une esclave. Bon Dieu, qu’elle était fragile. Elle n’était pas capable de tué pour sa survis, ou de vendre son corps pour mangé. Et l’idiot que j’étais à fini par prendre pitié de la jeune fille.
J’ai commencé à survivre pour deux. J’ai commencé à tué autant pour ma vie que pour la sienne. Autant pour son estomac que pour le siens. J’ai pris des vies pour sa vertu. Un monde de fou.
Et toutes cette année de mort et de pourriture, n’était qu’un foutu tri. Un foutu crique pour le plaisir sadique de noble qui avaient main mise sur nos existence. On n’était que quatre à sortir de notre trou. La fille que j’avais passé mon année à protéger, deux autres garçons et moi-même.
Et sous mon regard les nobles ont exigé le viole et le meurtre de la fille dont je n’ai jamais connu le nom. Pour me donnée une leçon, qu’ils disaient. Pour me faire comprendre que mon cœur n’était pas assez dur. Je souris encore à ses mots. Quand j’ai brisé de mes mains la nuque de la fille avant même qu’il n’est fini de la violer. Quand j’ai enfoncé mon bras directement dans la bouche qu’un des garçons jusqu’à lui arraché tout ce que je pouvais lui prendre par cette orifice. Quand j’ai arracher la gorge du dernier avec mes dents.
- Pensez-vous toujours que j’ai un cœur.
Je n’avais parler depuis tellement longtemps, que pendant plusieurs secondes je me suis demander qui avait parler. Je me souviens de leur regard de fou. Des éclats de rires.
Je suis devenu le bras armé d’un puissant seigneur de guerre qui avait pour but de prendre le contrôle de tout de le No man’s Land. Même si, je n’étais pas dans l’armée régulière. J’étais disons un objet d’amusement et de dissuasion pour ses amis et ennemis politique.
Je ne compte plus le nombre de fois, où il m’a demandé d’arracher à main nu des gorges, ou d’éventrer brutalement quelqu’un.
J’ai toujours été entouré de violence. Et quand mon Maître est mort. Bah, ça n’a pas changer grand-chose. Je n’avais juste plus d’ordre à recevoir. Mais je n’avais plus ni logis, ni argent. Alors je suis devenu Aventuriers.
Après tout, moi qui suis né avec Mort. Je ne pouvais que trouvé un métier où la Mort et le seul Maître.
Je me prénomme Olrik Epeemorte. Et mon seul Maître est la Mort.