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Description
Journal du Rémi Fasola,
Entrée n°1 :
Bonjour, je m’appelle Rémond-Michel Fasalo mais vu que ce nom n’a rien de mélodieux, j’ai choisi le doux sobriquet de Rémi Fasola. Je suis un Demi-Elfe de 19 ans et ménestrel autoproclamé. Pour mieux comprendre ce que j’entend par là je vais conter mon histoire.
Je suis né à la ville elfe de Nulbash, dans la forêt d’Ouien. Mon père est humain et ma mère une elfe sylvaine. Je fus donc naturellement, depuis mon enfance, entrainé au tir à l’arc.
En plus de ma formation d’archer, mes parents étaient tous deux des musiciens. Mon père au luth et ma mère à la harpe. J’ai toujours eu une préférence pour le luth, que je me suis empressé d’apprendre. Je suis d’ailleurs très doué à ce niveau-là.
Durant mon adolescence, je dois vous avouer que ce talent m’a bien servi, en plus de ma beauté naturelle, pour « butiner quelques fleurs » du village et des alentours. Ceci est mon péché mignon, cueillir des fleurs après les avoir séduites de manière romantique.
Mais je m’égare, mon adolescence s’est fais sans trop de problèmes, donc ne nous y attardons pas dessus. Nous arrivons à il y a quelques semaines. J’étais en balade à forêt avec mon père lorsqu’un groupe de bandit nous as attaquer pour nous détrousser. C’était la première fois que je devais me défendre contre des humanoïdes et cela était différent des cibles d’entrainement. Si quelqu’un m’avait vu il m’aurait appelé le pourfendeur de vent car l’ennemi ne fut pas touché une seule fois et mes flèches ne percèrent que l’air… C’est lors de cette évènement que mon père fût roué de coup, et couper une main. Les bandits nous volèrent tout notre équipement et notre or... Je me rappellerais toute ma vie du détail qui me permettra de les retrouver, ils avaient tous à leur doigt une bague avec un crane en or.
De retour au village, mon père ne pouvait plus jouer de son instrument favori et décida de me le donner. Je pris un arc ainsi qu’une dague au village et décida de devenir aventurier afin de retrouver ces malandrins et de venger mon paternel.
C’est aujourd’hui que mon aventure commence, pour ne rien oublier j’écrirais mes mémoires. Je trouverais des compagnons, m’inspirerais de leurs nos exploits et je retrouverais ceux qui nous ont fait subir cela.